mercredi 31 octobre 2012

La Tunisie une zone de non droit

Bienvenu chez les singes en Tunisie

Ce que je retiens principalement de l'actualité en Tunisie, ce sont des faits de sauvagerie perpétré par des salafistes et des djihadiste en toute impunité. Depuis que le nouveau pouvoir des singes Ennahda a pris les renes du pays, ont ne compte plus les exactions et les faits d'arme d'une bande de babouin du moyen age. Mais le plus surprenant c'est l'absence de l'application des lois du pays. Tous c'est fait ont eu lieu cet semaine, et tout les coups et les trafics peuvent prospéré en toute tranquilité vue que la lois n'existe plus en Tunisie


Cet semaine les salafistes coupent 4 doigts à un vendeur d’alcool à la Manouba

Un groupe de salafistes a coupé dans la nuit du samedi à dimanche 28 octobre 2012, 4 doigts à un vendeur d’alcool dans la région de la Manouba, selon une source sécuritaire citée par Assabah News.
Il s’agit du même incident au cours duquel le chef de la brigade de la sécurité publique du district de la Manouba a été agressé avec un sabre par un salafiste en toute impunité.

Le vendeur qui a été transporté à l’hôpital Charles Nicole (Tunis), a refusé de porter plainte expliquant qu’il «traitera cette affaire à sa manière».

Autre fait marquant, la même source sécuritaire a précisé que les violences entre salafistes et vendeurs d’alcool se poursuivaient encore ce matin, à Douar Hicher. Toujours a Douar Hicher des combattant salafiste affronte les forces de police et de l'armée en plein centre ville


L’armateur, impliqué dans l’histoire de cadavres de moutons roumains, poursuivi en justice

L’Etat tunisien portera plainte contre l’armateur, qui a jeté les cadavres de moutons roumains à la mer, selon le porte-parole du ministère du Commerce, Mohamed Ali Ferchichi.

M. Ferchichi a indiqué qu’une procédure judiciaire est actuellement en cours. Ainsi, l’armateur sera poursuivi en justice car il n’a pas suivi les usages : au lieu de mettre les cadavres de moutons dans une chambre isolée et leur couper les oreilles (preuves pour l’assurance), outre le fait d’informer les responsables de la cargaison de l’incident, il s’est dérobé de ses responsabilités en jetant, tout simplement, les cadavres par-dessus bord.
Et il faut surtout pas oublié que ce meme porte parole du ministere de commerce a nié dans la presse radio et ecrite que les cadavres de mouton etait des phoques la semaine derniere sur la plage d'Hammamet. Apparemment aujourd'hui il reviens sur ca parole !
De toute maniere l'armateur va declaré qu'il a jeté les mouton dans la zone de navigation international, donc les poursuites judiciaire seront abandonné.


Pour le ministre du Commerce tunisien c'est un phoque !



Décès d’un militaire dans des conditions obscures à Tozeur

Un sergent de l’armée nationale tunisienne, originaire du nord de la Tunisie, est décédé, dimanche soir 28 octobre 2012 dans la caserne de Hazoua (gouvernorat de Tozeur).

Les raisons de ce décès demeurent obscures. Une enquête a été ouverte afin de comprendre ce qui s’est passé.
Alors que certaines parties affirment qu’il s’agit d’un suicide, selon Shems Fm, d’autres militaires pensent qu’il s’agit plutôt d’une mauvaise manipulation d’arme qui a entraîné cet accident tragique.
Et d'apres moi c'est juste une règlement de compte entre mafiosi armée.
Apparemment il n'y a que en Tunisie qu'ont peut mourir de sont propre fusil a l'abris des regard. L'armée tunisienne a comme spécificité de maquillé les morts naturelle en accident de travail. Suffit de se rappelé qu'un Colonel connu en Tunisie du nom de Sedik est mort en helicoptere apres qu'ont lui a ordonné de changé d'helicoptere. Jusque aujourd'hui la famille attend réparation.



Le president du parlement Ben Jaâfar accueilli au stade de foot par un chant à la gloire d du dictateur Ben Ali 

Le ras le bol populaire s'exprime souvent dans les stades en Tunisie. La semaine derniere une partie du public a scandé le nom du dictateur Ben Ali à l’arrivée au stade du president du parlement Ben Jaâfar. Un acte politique par excellence.

La seconde mi-temps du match de demi-finale de la Coupe d’Afrique des clubs champions opposant l’Espérance sportive de Tunis au Club congolais mazembé allait commencer, lorsque Mustapha Ben Jaâfar, président de l’Assemblée nationale constituante a pris place dans la tribune du Stade de Rades (banlieue sud de Tunis).

Le chef du parti Ettakatol, qui se voit lui aussi déjà au palais de Carthage, a voulu prendre un bain de foule en assistant à ce match important. Enfant de Halfaouine au quartier populaire de Bab Souika, berceau de l’Espérance et ami de Hamdi Meddeb, président du club, par ailleurs sponsor d’Ettakatol, M. Ben Jaâfar pensait être en terrain conquis. Mais surprise : le public espérantiste s’est mis à scander en chœur le nom de l’ex-dictateur déchu Zine El Abidine Ben Ali en fuite depuis le 14 janvier 2011 en Arabie saoudite.

C'est là, on l'a compris, une manière de narguer le prestigieux hôte et d’exprimer un ras-le-bol qu’un grand nombre de Tunisiens ressentent par rapport à la situation générale dans le pays et à l’incompétence de la nouvelle équipe au pouvoir.


Aucun commentaire:

Google+