lundi 28 janvier 2013

Le bêtisier de la politique en Tunisie

Quand des singes rêvent d'occupé un poste en politique


Larbi Nasra avec le dictateur Ben ali
Larbi Nasra avec le dictateur Ben ali


Larbi Nasra, patron de Hannibal TV, rêve de conduire les affaires du pays et d'être le prochain locataire de Carthage. Là où en est le pays, plus rien m'étonne! Et tout le monde peut y penser en se rasant le matin.

«Si nécessité s'impose et que j'ai un plus à donner au pays, pourquoi pas!», a précisé Larbi Nasra (alias Baêth el Qanet) dans une interview publiée vendredi par l'hebdomadaire arabophone ''El Mijhar''.

M. Nasra, accusé d'avoir semé la terreur pendant les évènements du 14 janvier 2011 en lançant des faux appels au secours émis par de faux citoyens sur ca chaine télé Hannibal tv, a plaidé non coupable. Selon ses propos au contraire pendant cette période, il a grandement participé à la révolution selon lui.

En septembre 2011, M. Nasra aurait reconnu devant la Brigade criminelle avoir lancé ces faux appels en provenance de citoyens qui aurait été terrorisés par des snipers dans moult quartiers de la capitale. L'avocat Béchir Chebbi et son confrère Hichem Zouili ont porté plainte contre M. Nasra auprès du ministère public.

Le 23 janvier 2011, le signal de Hannibal TV a été en effet coupé et les programmes brièvement interrompus et M. Nasra et son fils (gendre de Leila épouse de Ben Ali) ont été arrêtés 24 heures durant pour haute trahison et conspiration contre la sécurité de l'Etat sans que la justice les traduisent devant un tribunal ...

M. Nasra peut avoir des ambitions. Reste qu'il ne précise pas quelles sont les forces politiques et/ou populaires qui vont le porter à la présidence de la république.

Apres etre choqué mais pas surpris quand on sait que beaucoup de ministres de l'ancien régime du dictateur Ben ali comme Morjane ou Jegham prétendent etre de bon candidat pour servir la Tunisie




Le clown du parlement pique une colère



Brahim Gassas
Monsieur le député tape des colères dans le parlement



Préparé vos mouchoir ont va pleuré. Rien ne va plus pour le député de Nidaa Tounes avec Brahim Qassas. Prenant la parole lors de la séance plénière de l’Assemblée nationale constituante (ANC) du mercredi 23 janvier 2013, il a exprimé sa colère contre le salaire insuffisant des élus et son mécontentement face à l’hypocrisie de certains députés qui veulent se faire passer comme des patriotiques devant les caméras et cherchent des hausses de salaires en privé.

«Organisez une séance plénière transparente dans laquelle vous annoncerez au peuple tunisien le montant exact de nos revenus», a fustigé le député à l’adresse de la vice-présidente de l'Assemblée nationale constituante (ANC), Meherzia Laâbidi, qui présidait la séance. Ajoutant : «nous (les députés) ne sommes pas des voleurs ! Moi Brahim Qassas, je parlerai au peuple tunisien pour lui dire que nous ne sommes pas des voleurs et que nous avons besoin de cette prime (prime de logement)».

Le député déclare : «Ne nous expulsez pas de l’hôtel pour nous mettre à la rue alors que le peuple croit que nous touchons 5 ou 6 mille dinars ! On n’est pas venu du désert, du sud et du nord pour être traité de la sorte. Personnellement, j’ai délaissé mes enfants pour mon pays et je n’arrive même pas à subvenir à leurs besoins», précisant que les salaires qu’ils touchent comme députés sont parmi les plus bas de l’Afrique.

Bien sur, ont va vous croire monsieur Gassas  !



Mustapha Ben Jaâfar : « je me présenterai aux prochaines élections sous le drapeau d’Ettakatol



Le président du parlement veut etre le prochain président de la république

Dans une intervention sur les ondes de Mosaïque FM le 15 janvier, Mustapha Ben Jaâfar, président de l’Assemblée nationale constituante, a précisé que le remaniement ministériel doit avoir pour objectif d’élargir la Troïka en intégrant des compétences appartenant à d’autres sensibilités politiques. Le gouvernement et le pays pourront, ainsi tirer profit de ces dernières afin d’améliorer les performances actuelles.

En outre, Mustapha Ben Jaâfar a déclaré qu’il n’était pas satisfait du rendement du gouvernement et que celui-ci pouvait nettement mieux faire.
Par ailleurs, le président de l’ANC a indiqué qu’il se présentera aux prochaines élections sous le drapeau d’Ettakatol.

Surtout vous disparaîtrez de la scène politique par la même occasion. Bon débarras ! Le pays se portera beaucoup mieux sans des chiffes molles de votre genre.


Hechmi Hamdi au présentateur télé: "Vous vous adressez au prochain président de la république"!


Hechmi Hamdi, un autre clown en politique tunisienne
Hechmi Hamdi, un ancien collaborateur du dictateur Ben ali

S’exprimant en duplex depuis Londres, le fondateur d’Al Aridha, Hechmi Hamdi a harangué au cours de l’émission Attassiaa le présentateur de l’émission télé Moez Ben Gharbia. « Vous détenez un scoop: car vous-vous adressez au prochain président de la république » lui a-t-il lancé.
Provoquant les rires de la salle, Hechmi Hamdi a conclu l’émission dans une ambiance burlesque.




Rafik Abdesalem: le ministre des affaires étrangères tunisien

Le ministre lave plus blanc que blanc
Ont apprend a la télévision et dans la presse ce mois-ci que le ministre Rafik Abdessalem lave son linge sale au Sheraton aux frais du contribuable et du pays. En plus d'un logement dans un hotel payer par le contribuable, celui ci fait laver sont linge sale au frais de l’état ! Pour justifier son logement dans l'hotel, celui ci a déclaré qu'il n'y avais pas de logement disponible pour lui.

Ainsi, le 14 janvier 2012, pour le premier anniversaire de la révolution, Rafik Abdessalem a lavé son linge pour une valeur de 17,500 dinars. Le 17 janvier 2012, 40,800 dinars, le 17 février 34,300, et 56,400 dinars (le même jour). « Une veste lavée étant facturée à 6,500 dinars, une chemise à 5,500 dinars, le costume à 10 dinars. Le linge du ministre est lavé sur le compte de la communauté nationale », affirme Sami Remadi.

samedi 26 janvier 2013

Taggeur en prison pour graffiti sur un mur

Direction la prison pour 2 jeunes pour des graffitis sur un mur


Taggeur en prison en Tunisie
Taggeur en prison en grâce a une justice du moyen age en Tunisie

Alors que la justice n'est toujours pas reformé, et que les lois de la Tunisie date du moyen age. Un juge d'un tribunal paumé du pays poursuit deux jeunes activistes du nom de Oussama Bouajila qui a 25 ans, et Chahine Berrich qui a  23 ans, qui appartiennent à un groupe d'art urbain "Zwewla" (Les pauvres), ceux ci doivent re-comparaître le mercredi 23 janvier 2013, devant la justice pour diffusion de fausses informations portant atteinte à l'ordre public via des graffiti, un délit passible de cinq ans de prison. Ils ont notamment écrit sur le mur de leur université « la révolution (de 2011) n'est ni celle des laïcs ni celle des islamistes (au pouvoir). Notre révolution est celle des pauvres.

«Poursuivis pour leurs graffitis sur un mur, ces deux activistes ne devrais pas être emprisonnés pour avoir exercé leur liberté d'expression», a estimé l'ONG dans un communiqué rendu public sur son site web.
Oussama Bouajila 25 ans, et Chahine Berrich 23 ans, qui appartiennent à un groupe d'art urbain "Zwewla" (Les pauvres), sont poursuivis depuis novembre pour avoir propagé de fausses informations portant atteinte à l'ordre public, défié l'état d'urgence et détérioré un bâtiment public.
«L'état d'urgence ne doit pas être utilisé comme une couverture pour justifier la restriction arbitraire de la liberté d'expression», a relevé Amnesty international.

Le tribunal de première instance de Gabès avait décidé, le 5 décembre dernier, le report l'affaire du groupe "Zwewla" au 23 janvier 2013.
Oussama et Chahine avaient été arrêtés et placé en prison en novembre dernier à Gabès, alors qu'ils étaient en train de peindre des graffitis de soutien aux pauvres et aux catégories marginalisées sur les murs de la ville.

Mise à jour : le Tribunal de première instance de Gabès a décidé le report l'affaire du groupe "Zwewla" au 27 mars prochain.

jeudi 24 janvier 2013

Association des magistrats tunisien

Rencontre avec la vice présidente de l'AMT, Raouda



 Raouda Kharafi
Madame Raouda Kharafi de l'association des magistrats tunisien

Déception, il n'y a que ce mot qui sort de ma bouche. Il était prévu au programme du 18 janvier la visite de la presidente Mme Kalthoum Kennou de l'association des magistrats tunisien (AMT) a Bruxelles, a la place ont a eu droit a la visite de la vice presidente Raouda Kharafi ce vendredi a Bruxelles.

La conférence
Pour commencé la vice presidente Raouda nous a fait un resumé de la situation passé sous le dictateur Ben ali, elle nous a expliqué les tentatives d'immixtion, l'eloignement de la capitale des juges, le noyautage de l'AMT, les déstabilisations dont les magistrats ont du faire face. Bref la corruption font partie du lot quotidien des magistrats tunisien, ce n'est qu'une minorité bien sur

Pour entré dans le vif du sujet Dans la salle nous étions que dix tunisien maximum comme spectateur. En face de nous j'ai trouvé une presidente qui n'etait pas motivé, lisant un texte comme un robot. J'ai demandé a la présidente pourquoi Kalthoum n'est pas la, elle ma répondu qu'elle avais beaucoup de travail. En regardant les actualité ce samedi matin sur internet, j'ai compris que l'association des magistrats tunisien organise une manifestation a Tunis ...
Dans le public tunisien, tout le monde avait préparé les questions.

Madame la vice presidente réclame la création d'une corporation de juge qui formerai elle même les juges et les magistrats. L'AMT réclame aussi un budget pour être autonome et une autonomie totale de la magistrature. J'aurais compris qu'elle réclame une reforme qui feront d'eux un état dans l’état en somme .... Drole de justice ! Mais le plus pire, dans les cadres des futurs proces pour les juges qui travaille pour le dictateur Ben ali ou bien ceux sont corrompus, l'AMT voudrais crée des tribunaux ou seul les membres de l'AMT se jugerais entre eux ! Fou rire garanti la ...

Question: Un membre du public lui demande quel sont les actions entrepris par l'AMT
Reponse de l'AMT: La reponse divague, elle reflechit. Ont a compris que les actions de l'AMT consiste a faire des manifestation, et c'est tout. C'est dernier temps l'AMT est venu vers le parlement a Tunis pour expliqué ca démarche, un peu tard en effet. J'aurais compris que l'AMT est structurellement défaillante dans la communication et qu'ils ignore les outils de lobbying... Ont peut etre sur que l'AMT ne connais les membres du parlement que a travers la télévision

Question: J'ai demandé a madame Raouda pourquoi le monde de la justice, de l'AMT et ou le conseil superieur de la magistrature ne demande pas pardon au peuple pour le mal qu'il ont fait a l'epoque de la dictature.
Reponse: Les juges doivent demandé pardons dans le cadre d'une justice transitionnel. En somme pas question de demandé un pardon ou un mea culpa ..

Question: Pourquoi ne pas publier les noms des juges corrompus, ceux qui sont impliqué dans des proces d'opinions politique etc ...
Reponse: L'AMT est contre la publication de la liste des noms de juge qui sont corrompus ou qui ont travaillé pour le dictateur Ben li. Madame Raouda nous dit que c'est dangereux pour le juge et ca famille. En somme la justice pour eux devrais etre rendu encore dans le cadre d'une justice transitionnel et non par des proces public. En somme l'AMT soutient l'omerta et les magouilles comme au temps du dictateur Ben ali. Raouda nous fait dire que dans une démocratie ont ne fait pas de procès public. Je lui ai retourné que dans une démocratie ou je vie et dans c'est un standard ici et partout en Europe, un juge a des comptes a rendre devant la justice. Et que chez nous ont publie tout les faits et ont met la photo du juge dans les journaux .. Ce a quoi ni elle et ca collegue Souad Noussa ne l'accepte pas et n'ont pas compris que la clarté et la liberté d'information sont la pour levé le voile sur les magouilles des juges.

Une video de 50 minutes sera prochainement mis sur youtube, vous pourrez la voir a cet adresse ci:
http://youtu.be/6lVpkwheFZ0

samedi 19 janvier 2013

Interrogation sur les armes de Medenine

Pourquoi tant d’armes à Médenine ? Les forces de sécurité n’ont pas de réponse claire ..


Après la découverte de ce jeudi 17 janvier, des deux dépôts utilisés comme caches d'armes importantes, les unités de l’armée, de la garde et de la police nationales effectuent, depuis la nuit du jeudi, des recherches et des contrôles à Médenine ( sud-est tunisien ), alors que des renforts sécuritaires se sont déployés jusqu’aux frontières avec la Libye et dans d’autres zones du gouvernorat pour prevenir une fuite au cas ou ...

Une source sécuritaire responsable qui a fourni ces informations à la correspondante de l’agence TAP dans la région a qualifié la situation de « calme », avec « un état d’alerte » sur les frontières.
Les importantes quantités d’armes « dangereuses » découvertes dans les deux dépôts sont composées de bombes, des missiles, des lance-missiles, de roquettes, des lances-roquettes RPG, d’importantes quantités de munitions, des explosifs et des grenades, ainsi que des gilets pare-balles, des treillis militaires, des moyens de communication sans fil et des produits chimiques.

Selon des sources informées, les armes ont été introduites à partir de la Libye. Il semble qu’ils avaient été enterrées (en raison de la présence de la terre sur ces armes) et par la suite, conduites et cachées dans les entrepôts.

L’enquête et les investigations se poursuivent pour découvrir si les auteurs de cette opération dont les contours ne se sont pas encore dessinés. D’après une source sécuritaire surtout « qu’il n’est pas encore clair si les individus impliqués avaient fait entrer ces armes avec l’intention d’exécuter un plan criminel en Tunisie ou pour les diriger vers d’autres pays, notamment le Mali ».

La police judiciaire et la brigade des recherches de Médenine ont pu arrêter trois suspects dont deux originaires de la ville de Médenine et l’un d’eux travaille dans la garde nationale, alors que le troisième est de la ville de Ben Guerdane.
Ces armes avaient été découvertes dans deux entrepôts dans la ville de Médenine, pas très loin du domicile de l’un des accusés, le premier à être arrêté et qui avait chez lui quelques armes en plus chez lui.

mercredi 16 janvier 2013

Le cinema de Mohamed Abbou a Tunis

Il fait du jogging pour être élu au future élection


Mohamed Abbou
Mohamed Abbou en plein cinéma dans le centre ville


Oyé oyé citoyens, le parti politique associé aux singes d'ennahda commence déja a faire du cinema. Ca chauffe pour les futures election apparemment.  Le coureur du CPR en la personne de Mohamed Abbou, secrétaire général accompagné de deux vélomoteurs avec à bord deux militants sans casque, une voiture de police pour escorter le trio et une circulation bloquée par l'ensemble.
C'est ca la pauvre image que dégage le parti présidentiel et la nouvelle élite politique tunisienne "révolutionnaire".

mardi 15 janvier 2013

Le trafic d'armes de guerre en Tunisie

En veux tu, en voila des armes


dragunov
Un beau dragunov, quelque part a Monastir
Depuis mes dernieres vacances en été en Tunisie, ca me chatouillait c'est histoires d'armes qui circule en Tunisie. Et il faut pas aller bien loin pour trouvé des vendeurs d'armes libyenne, il me suffisait d'aller a Monastir en pleine zone touristique. J'ai voulu testé et j'ai reussi a me procuré des armes. Je me suis mis en contact avec un barbus via un intermédiaires de confiance, mais je n'ai pas été plus loin.

J’étais intéressé par un Dragunov, et un 9 mm, le tout pour 2000, 2500 dinars. Ce qui ma refroidi c'est le bras droit du barbus. J'avais pas du tout confiance en voyant ca tete. Alors j'ai préféré laissé tomber.  Apres enquête j'ai découvert que monsieur le Barbus est en faite un ancien criminel qui a laissé poussé ca barbe, le but etant de faire plus serieux aupres des gens. Aux dernières nouvelle, lui et un autre guignol aurait violé une jeune fille qui était accompagné de sont petit ami prés des rochés. Depuis il a totalement disparu de la circulation ....

Le commerce (clandestin) d’armes de guerre est plus que jamais florissant en Tunisie et tout un chacun peut s’en procurer sans difficulté, à en croire le quotidien « Al-Maghreb » qui consacre à ce sujet sensible un long reportage de trois pages entières avec, à la clé, une preuve formelle : Le reporter a réussi à acheter, quelque part dans le sud tunisien, un revolver avec son chargeur de munitions.

Les deux questions essentielles auxquelles le journal se proposait de répondre étaient de savoir si on peut acheter facilement une arme en Tunisie et si toute personne, même profane, peut s’en procurer et parvenir sans encombre jusqu’à Tunis. Dans un cas comme dans l’autre, la réponse est oui, pour peu qu’on déniche un intermédiaire et qu’on y mettre le prix : aux alentours de 3000 dinars pour un pistolet de calibre 9mm équipé d’un silencieux, pas plus de 2500 dinars pour un fusil-mitrailleur Kalachnikov de fabrication russe… On y apprend également que l’offre est très diversifiée et peut aller jusqu’au lance-roquettes RPG provenant, comme la plupart des autres armes en circulation de ce qui reste de l’arsenal du régime libyen déchu.

Plus surprenant encore, on apprend par ce reportage que souvent les armes en petite quantité transitent par les postes frontaliers réguliers, à la faveur d’un déficit de contrôle aux causes non précisées. Alors qu’il arrive que des cargaisons entières sont introduites discrètement en contrebande par des passeurs à travers des pistes sahariennes éloignées,  la frontière ne permet pas du tout au douanier d'effectuer encore des saisies d'arme.

lundi 14 janvier 2013

Le cinema de Rached Kheriji dans les mosquée

Le chef d'Ennahda se prend pour Dieu

Des fidèles de la mosquée de Raoued font la queue pour embrasser la tête de Rached Kheriji, président du parti Ennahdha. Le temps d'une prière, le leader politique s'est métamorphosé en guide spirituel, balayant d'un revers la loi interdisant l'utilisation des mosquées à des fins politiques. Pendant ce temps-là, le cirque d'Ennahda continue dans les mosquée.


Image pitoyable, ce servir de la religion pour c'est propre intérêt politique

dimanche 6 janvier 2013

La loi du plus fort

La justice au service du parti Ennahda


Olfa Riahi
Poursuivi en Tunisie apres avoir dénoncé des magouilles!

Les exemples ne manque pas pour dénoncé notre justice qui fonctionne en fonction du pouvoir politique. Désormais toute personne qui dénonce une malversation ou un détournement de fond en Tunisie sera poursuivi directement par la justice au service du pouvoir politique.
Ainsi la blogueuse Olfa Riahi en na fait les frais cet semaine, c'est celle qui en avait publié l’affaire du ”SheratonGate” et appelé à l’ouverture d’une enquête à l’encontre du ministre des affaires étrangères Rafik Abdessalem pour malversation.

Le juge lui a ainsi infligée d’une décision d’interdiction de quitter le territoire tunisien pour diffamation et publication de fausses informations portant atteinte à la sécurité du pays. Rien que ça ! Comme pour l'affaire de la femme violé par la police du dictateur Ben ali, une blogueuse qui dénonce des magouilles est ainsi poursuivi par la justice. Moi je me demande a quand la liberté d'expression, est ce que vous trouvez ca normal ?

Encore une victime

Ayoub Messaoudi
Ayoub Messaoudi, ancien conseillé du president de la republique tunisienne

En Tunisie la liberté d'expression n'existe pas et n'existera jamais pour le moment. Pour preuve une peine plus lourde a été signifié a Ayoub Messaoudi à un an de prison avec sursis devant le tribunal militaire de Tunis. Ayoub Messaoudi était l'ancien conseiller auprès du président de la République, Moncef Marzouk. Apres avoir dénoncé le double jeu de l'armée et des ministres d'ennahda, ceux ci ce sont occupé de sont cas. Il a été condamné en première instance de 4 mois de prison avec sursis. En Tunisie quiquonque parle ou dénonce des faits sur l'armée tunisienne peut être poursuivi pour atteinte au moral de l'armée devant un tribunal militaire. Assurement la loi date du moyen age

Les terroriste ont force de loi de leur coté


Abou Ayoub
Abou Ayoub au dessus des lois en Tunisie


Une peine de prison de 4 mois ferme a été ordonné a un salafiste qui s'appelle Abou Ayoub. Celui ci aurait notamment participé a l'attaque de l'ambassade americaine de Tunis en été. Le ppersonnage est un energumene qui veut le retour au moyen age en Tunisie en y pronant la charia et le salafisme en Tunisie. Désormais les terroristes barbus en Tunisie savent qu'il ne risque rien a l'avenir en y incendiant une ambassade.





Google+