dimanche 21 octobre 2012

Les magouilles de la femme du ministre de la justice en Tunisie

La femme du ministre de la justice au dessus des lois

En Tunisie il n'existe pas de justice comme dans un état démocratique. Ce qui marche par contre c'est la corruption, les passe droit, les magouilles, les interferences politique dans le processus de la justice, le trucage de dossier, la manipulation des témoins. Encore aujourd'hui c'est d'application, et il faudra pas attendre de reforme car ca n'aurat jamais lieu. Pour la simple et bonne raison que les singes d'ennahda ne savent pas controlé le systeme en entier, alors il prefere le statut quo. Nous avons maintenant les passes droits de la femme du ministre M. Noureddine Bhiri. Si vous voulez reglé un probleme judiciaire il vous reste que a vous adressé a madame la ministre de la justice Akremi, elle est au dessus des lois apparemment ...

Saida Akremi, les meme methode que la mafia tunisienne au pouvoir

Le juge Afef Chaâbane accuse le parquet d’intervenir dans le déroulement de la justice pour faire valoir les intérêts des clients de Me Saïda Akremi qui est l'épouse du ministre de la Justice Noureddine Bhiri
 
Le juge Afef Ben Chaâbane cite le cas de deux personnes accusées de consommation et de trafic de cocaïne qui ont été libérées, après 2 mois de détention (chez nous en Europe personne ne va en prison, en Tunisie les lois sont en retard d'un siecle), par le juge du tribunal de première instance de l’Ariana, et ce à la demande de l’avocate Maitre Saïda Akremi, qui n’est autre que l’épouse du ministre de la Justice Noureddine Bhiri....

Cette libération a été dictée contre l’avis de la magistrate et à l’encontre de toute logique judiciaire, le dossier des deux prévenus étant particulièrement chargé.
«Lors du procès du 29 mai dernier, le président de la chambre du tribunal de l’Ariana m’a demandé si on allait libérer les deux prévenus. J’ai répondu qu’on va voir lors de l’audience à huis-clos. J’ai été surprise par la décision prise sur le champ de libérer les deux hommes comme l’a demandé Me Akremi», a déclaré aux médias Mme Ben Chaâbane.

La juge, qui s’est opposée à cette décision, a été surprise par sa mutation du tribunal de l’Ariana à celui de Bizerte dans le cadre du dernier mouvement des magistrats ordonné par le ministre de la Justice. Quant au juge ayant ordonné la libération des deux prévenus, il a été promu, dans le cadre du même mouvement, du 2e au 3e degré.

Selon la juge Ben Chaâbane, Me Saïda Akremi, s’est empressée, après la libération des deux prévenus, de ne plus assister son client et demandé que l’on efface son nom de la liste des avocats qui l’ont défendu pour ne plus laissé une trace de sont intervention dans le dossier

Pire encore: le client – ou ex-client – de Me Akremi serait, selon certaines sources, un homme d’affaires connu par son alliance au clan du dictateur Ben Ali-Trabelsi.
La réforme de la Justice avance à pas de géant et c'est pas pour demain …


Aucun commentaire:

Google+