mercredi 29 février 2012

Le degré ZERO de la politique en Tunisie

Le degré ZERO des hommes politique en Tunisie

Le débat politique en Tunisie tourne de plus en plus court. Dans cette Tunisie post-révolutionnaire de qui on attendait monts et merveilles, on ne débat pas idée ou de contre idée, programme contre programme. Le débat, si on peut appeler cela, est fait à coup de règlement de compte, d’anathèmes, d’invectives et de procès d’intention sur la place publique. Il est revellateur du niveau des hommes, de leurs mentalité dépassé et qui se dit soit disant démocrates ...

Chaque fois que je viens en Tunisie ont me répète sans cesse que la Tunisie est en développement et que les hommes qui sont a la tête ont droit a des erreurs. Seulement voila, c'est erreur sont eternel sans remise en question et ni sanction! Et bien moi je dis que si ils sont bête et incompetent qu'il laisse leurs place a ceux qui sont évolué pour faire la difference. Mais cela est impossible a cause des singe qui sont aux sommets de l'etat ... J'aime beaucoup le mot singe, et il y en a beaucoup en Tunisie hihi

Pour preuve je vous livre le récit deux hommes politique en Tunisie qui s'insulte et règle leurs compte a la radio en live. L'autre se trouve dans les studio et le second parle via le téléphone. Apres cet échange au combien révélateur d'une grande partie du monde politique, vous ne vous étonnerais de plus rien en Tunisie avec les singes.

Les guignols de la politique en Tunisie. Rien que a voir leurs tête ont a tout compris hihi




Le journaliste Slim Boukhdhir (a droite sur la photo) a été nommé récemment en tant que chargé de la communication du CPR, parti du président de la République. Ancien prisonnier d’opinion de Ben Ali, et fondateur du journal satirique El Gattous, il a été invité hier, lundi 27 février, sur Shems FM dans une rencontre animée par Waël Toukabri et Sofiane Ben Farhat.
Durant l’interview, Samir Ben Amor ( a gauche sur la photo), conseiller auprès du président de la République Moncef Marzougui et membre du bureau politique du CPR, a demandé d’intervenir en direct sur antenne. Une intervention téléphonique qui restera dans les annales.
Et si M. Ben Amor est intervenu, c’est pour dire à l’opinion publique que le bureau politique du CPR n’est pas au courant de la nomination de Slim Boukhdhir. L’animateur de Shems lui rappelle alors qu’un communiqué en bonne et due forme a été publié la veille par le CPR et signé par son secrétaire général Abderraouf Ayadi.

Samir Ben Amor revient à la charge pour dire que Abderraouf Ayadi a des prérogatives limitées et qu’il n’a pas la latitude de nommer un responsable de la communication. C’est au bureau politique (BP) de procéder à une telle nomination, dit-il, et aucun des membres du BP n’a été informé de cette nomination.
Est-ce un nouveau conflit au sein du CPR ? , interroge le journaliste de Shems. « C’est une affaire intérieure qu’on résoudra », répond Samir Ben Amor qui précise que ses propos ne visent pas Slim Boukhdhir, mais relèvent le non-respect du processus de décision au sein de son parti, sujet actuellement à quelques différends et comportements étranges.
« Comme le putch que vous avez fait sur Abderraouf Ayadi », a répliqué Slim Boukhdhir.
Samir Ben Amor réagit en lui disant « si vous êtes porte-parole du CPR, ne soyez pas porte-parole de Abderraouf Ayadi ».

Slim Boukhdhir reprend la parole en rappelant la composition du bureau politique du CPR: Abderraouf Ayadi, Néziha Rjiba et lui-même. Samir Ben Amor sort de ses gonds et lui dit qu’il n’a jamais été membre du BP.

Boukhdhir réplique en direct en lui demandant d’aller voir les archives sur Google et de constater que les communiqués du CPR étaient rédigés par lui-même et qu’il est membre du CPR depuis neuf ans.
Et d’interroger Samir Ben Amor : « Tu n’es qu’un pseudo-militant du CPR, tu n’as pas milité les quatre dernières années, tu n’as pas participé à la résistance, quand on se battait, Mohamed Abbou et moi, toi tu n’as même pas reçu une gifle, on te regardait et on te laissait tranquille. Tu n’as jamais milité Samir ! Tu te compares aujourd’hui à Abderraouf Ayadi ? Ayadi, Om Zied, Marzouki ou Abbou sont des martyrs-vivants. Vous, vous voulez détruire le parti. Moi, je suis entré en prison pour ce parti. Et après la révolution, je vous ai laissé tranquille.

Tu dis que nous avons été persécutés ensemble. Moi j’ai été frappé durant les manifestations, et toi ? Quand-est ce que tu as été frappé ?
Il y a des références, nous, nous faisons partie des références du parti. Vous ne pouvez pas entrer chez nous puis nous renvoyer. Il y a aujourd’hui des lignes rouges que tu as dépassées.
Moi, j’ai créé la cellule de communication du CPR. Quand Ben Ali nous persécutait, moi je publiais des communiqués en son nom. Et toi ? Pourquoi tu n’as jamais réagi sous Ben Ali ?
Enfin, j’ai une question à te poser Samir, le jour de mon procès en décembre 2007, j’avais autour de moi une armée de défenseurs. Pourquoi tu n’as pas été parmi eux ce jour-là ? Pourquoi tu ne m’as jamais rendu visite en prison ? Tu dis que tu as milité. Quand ça ? Toi, tu n’es pas CPR, les vrais CPRistes sont connus et toi tu ne figures pas parmi eux.»

En réponse, Samir Ben Amor a répété qu’il s’agit là d’un problème interne, bien que ce soit lui qui est intervenu publiquement, en direct, à la radio pour contester cette nomination.
Il a répété que Abderraouf Ayadi n’a pas les prérogatives pour nommer un responsable de communication, qu’il a été déjà averti sur ce point, mais qu’il ne l’a pas respecté.

Slim Boukhdhir a conclu l’entretien en disant qu’il y a un putsch au sein du CPR et a déclaré qu’il ne reconnait pas ce bureau politique et ne reconnait que le bureau constitutif dont Samir Ben Amor ne fait partie. Selon lui, ceux qui figurent dans le bureau constitutif et sont restés concrètement jusqu’au 14 janvier, sont Moncef Marzouki, Imed Daïmi, Abderraouf Ayadi, Slim Boukhdhir, Néziha Rjiba, Fethi Jerbi et Mohamed Abbou.

Quant à Abdelwaheb Maâtar, il est resté au parti mais il n’était plus actif les dernières années. Il n’a pas fait de prison et n’a pas été persécuté avant le 14.
Nous n’étions pas organisés, nous n’existions que par notre militantisme sur terrain. Abderraouf Ayadi et moi-même étions persécutés par Ben Ali, ce qui n’était pas le cas de Samir Ben Amor.
Le CPR est mon domicile et il est inadmissible qu’un invité vienne chez nous puis nous renvoie. Ces invités qui viennent nous dire «dégage» chez nous, sont des voleurs. Nous défendrons le CPR, comme nous avons défendu la République, nous ne serons pas renvoyés de chez nous ! », a conclu Slim Boukhdhir.

Après la vacuité des propositions et l'absence totale de toute action constructive et pratique pour la crise qui touche les Tunisiens, nous avons maintenant droit et en direct à l'étalage des réglements de compte entre "camarades". Ca veut réunir les Tunisiens, et ils ne sont même pas foutus de se réunir et de s'entendre entre eux. C'est dire !

Le plus hilarant, c'est aussi de constater maintenant et une fois pour toutes, qu'aucun des membres de ce parti ni du gouvernement d'ailleurs, ne posséde "le sens de l'état" et l'esprit qui va avec. C'est une bataille de chiffonniers, pour des postes et des avantages. La Tunisie sombre de plus en plus chaque jour, et l'avenir s'obscurcit davantage quand on voit le niveau de nos hommes politiques actuels.  Quand on pense que ses ratés de pseudo-politiciens vont diriger et représenter le pays, j'en rigole déja hihi

Et c'est aussi donc ce genre de chiffonniers qui seraient en train de rédiger la constitution de la 2è République Tunisienne née de la révolution. C'est un cauchemar pour la Tunisie !

jeudi 16 février 2012

Les barbus d'Ennahda contre la presse

La presse est l'ennemi public numero 1 en Tunisie, et Ben ali est de retour !

Comme vous le savez, les barbus qui gouverne en Tunisie viennent de sortir de leurs grotte et commence a decouvrir la liberté de presse. Ils se trouve que les singes moyenâgeux du gouvernement ont trouvé un idiot de juge pour poursuivre le directeur général Nasreddine Ben Saïda du journal Attounnissia et son redacteur en chef et un journaliste qui s'apelle Hédi Hidri. Le motif officiel de l’arrestation est basée sur le code pénal et non sur le code de la presse : publication d’un article ou d’une photo de nature à troubler l’ordre public. Rien que ca.
Tené vous bien par ce que le journal a osé publié un joueur de football tunisien de nationalité allemande du Real de Madrid avec sa copine en petite tenue d'Eve dans l'edition du mercredi 15 février 2012. Alors la franchement ont est mort de rire hihi

L’article du code pénal sur lequel c'est basé l'idiot de juge pour arrêter les trois journalistes date de l’époque du dictateur Ben Ali. Il est donc étrange que l’on fasse appel aux textes que l’on désire et que ces mêmes textes soient rejetés dans d’autres affaires, notamment celles touchant les Salafistes.
Pour en revenir a notre affaire, il a eu aussi la saisie de journal Attounnissia en Tunisie et cela ne sait jamais passé sous le dictateur Ben ali pendant sont regne sur la Tunisie 

La foto qui que les moyenageux du gouvernement n'aime pas

Dans tout les pays du monde ont voit des foto de femme en maillot de bain, et je commence a comprendre que ont est vraiment dirigé par des idiots moyenâgeux en Tunisie.
Quand des barbus et des salafiste moyenâgeux publie des appels a la haine, la miraculeusement les barbus de juge ne bouge pas ! Mais pour s'en prendre a 3 journalistes pour une foto de gonzesse, c'est direct la prison et les grands moyens policier. C'est du n'importe quoi avec les singes d'Ennahda

Des magazines comme Voici ou Gala sont exposés dans nos kiosques avec des seins nus, alors que la photo du quotidien tunisien était simplement dénudée. Chaque journal ayant sa ligne éditoriale et c’est aux lecteurs de choisir ce qu’ils veux lire.

Le plus dangereux dans cet affaires judiciaire c'est que ont veut en faire un exemple pour montré que la presse va devoir payer pour avoir publier une femme en tenue legére. En tout cas le pays va lentement et surement a la derive et la liberté de la presse est menacé tout entier.
En tout cas aujourd'hui le directeur du journal dort en prison a cause des singes qui gouverne la Tunisie, c'est vraiment triste !


lundi 13 février 2012

Un pays de singe en Tunisie

Quand les idiots vienne en Tunisie pour baratiné les singes

Depuis la liberté et la mise en place de la politique d'Ennahda vis a vis du salafisme en le laissant prospéré aux detriments de la liberté d'expression, ont a trouvé le moyen d'invité des gens dangereux dans leurs parole et dans leurs haine contre la société tunisienne.
Parmis les idiots du moyen age, il y en a qui a fait parlé de lui ce week-end. Tenez vous bien, il a réussi a remplir une salle comble ce dimanche a El Menzah, au faite le singe s'apelle Wajdi Ghenim. Apparement c'est un Imam qui vient de la terre des pharaons, a mon avis lui il sort d'une grotte d'Afghanistan plutot.
Apres le cirque avec les singes, il a encore trouvé le moyen d'etre invité dans les mosquées de Tunis apporté la bonne parole aux babouins et autre singes qui pilulle lol

Petit florilège contre les femmes tunisienne:

Wajdi Ghenim: « L’excision est une opération esthétique, rien de plus » et « celui qui s’oppose à la volonté de Dieu est un apostat »
J'apelle les Tunisiens à s’attacher à extérioriser leur islam en montrant les signes  extérieurs comme se faire pousser les barbes pour les hommes et le port du voile (Hijab) pour les femmes. Le singe a indiqué que  les appellations de démocrate, libéral et autres sont des néologismes et n’ont rien avec l’islam parce qu’ils ne sont pas d’origine divine.
Le singe s’est aussi moqué du principe d’égalité entre les hommes et les femmes, affirmant  » qu’un homme reste un homme et une femme demeure une femme, une relation ressemblante à celle du coq et la poule ».

Le singe a aussi dénoncé aussi les femmes qui pratiquent le sport citant notamment le tennis et la natation où la femme est obligée d’être dans la plus simple tenue ce qui est contraire aux principes de l’islam.

Il a plaidé aussi pour la polygamie qui dit-il est un ordre divin de dieu.
Apparemment ce charlot c'est faire avec les singes lol


La bande de singe qui applaudit et crie son nom
Pour les medias c'est un savant, pour moi c'est juste un singe qui sort de sa grotte

Je précise que l'idiot de la grotte etait en visite en Tunisie sur invitation du parti Ennahda. Ennahda apparement veut islamisé la société tunisienne petit à petit.

samedi 11 février 2012

Ennahda c'est faire du militantisme sur le terrain mais ne sait pas gouverné

Aucun contrôle, aucune autorité en Tunisie 

Que ce soit en économie, au plan sécuritaire notre pays navigue comme un bateau au gré du vent. Il suffit de s'en rendre compte dans les faits et dans l'incompetence du gouvernement a faire de la bonne gestion sa ligne de conduite. 

La gestion du risque ont connait pas en Tunisie

A Aïn Draham-Tunisie: 7 morts et 30 mille citoyens privés d’eau potable depuis 7 jours deja. Le délégué de la ville de Tabarka a indiqué que la région de Aïn Draham est actuellement sans délégué. Celui ci se trouve a Jendouba. La raison est que il surement compris plus vite que les autres que sa ville na aucun moyen de faire face a la neige, d'ou sa presence a Jendouba




Un fonctionnaire de la délégation de Aïn Draham a confirmé que des citoyens de la localité de « Hammam Bourguiba » ont menacé hier, jeudi 9 février 2012, de franchir les frontières vers l’Algérie si le Gouvernement ne les aide pas a survivre dans le froid.
La région de « Hammam Bourguiba » est complètement isolée, les citoyens sans nourriture, ni électricité ou gaz et ont donné un délai de 24 heures au Gouvernement pour les secourir avant qu’ils ne se dirigent vers l’Algérie. Voila a quoi est reduit notre pays quand il est géré par des singes incompetent qui ne pense que a inscrire la Charia dans la constitution. Les gens peuvent continuer a mourir car les barbus vont gouverné le pays pendant des années encore ! 
Vous ne compté que le jour des elections mais au moindre cout de froid ont vous laisse tomber comme des bons pigeons qui ont cru aux allouettes.

En Tunisie ont déblaie la neige avec une pelleteuse en 2012

La police de Ben ali contre les chômeurs

Ont croirais que Ben ali est encore la ! Imaginé une petite centaine de chomeur qui manifeste au centre de Tunis. Le barbu du ministère de l’intérieur na eu que comme seule réaction de laché les policier contre les manifestants. Savez-vous que les chomeurs depuis des mois réclame le droit de pouvoir créer une association pour défendre leur droit les plus elementaire. Sur instruction des politique, la justice tunisienne leurs dénis ce droit fondamental qui dans toute société libre et démocratique elle accepterais sans aucun obstacle. 

Notre pays ressemble encore a celui de Ben ali et la justice est encore plus pourri que avant j'ai envie de dire.  Les lois sont archaique et ceux qui les execute ont un cerveau de fromage blanc.
Lorsque les salafistes et autre barbus bloque l'université ou agresse les professeurs la ont ne mobilise pas les forces de l'ordre, ont laisse faire comme si il fallait convertir petit a petit la société tunisienne a la religion des barbus dégradante. D'ailleurs c'est le silence le plus complet et un laissé allé total.

Le cout de la vie augmente
Les Tunisiens souffrent d'un coût de la vie de plus en plus élevé (à titre d'exemple, 4 œufs à 800 millimes, rien que ça), le kilo de la viande d’agneau dépasse les 18 dinars et les fruits sont devenus trop chers pour la classe moyenne qui n’arrive plus à joindre les deux bouts.
Personne n’arrive à contrôler les prix, et d’ailleurs qui contrôle quoi? «Trouvez-vous normal que dès que la population se met en colère, elle dégage le gouverneur?
Nous assistons à la désintégration de l’Etat et à une mise à plat de son autorité et de son prestige en l’absence d’un pouvoir central affirmé.
Est-il courant de renvoyer de son poste le gouverneur de Kébili comme s’il était un moins que rien alors qu’il représente l’Etat dans la région?

Pourquoi n’avons-nous pas vu une position claire par rapport à cela et quel est le but derrière ce mutisme intentionnel des barbus, à votre avis? D’ailleurs est-il normal que nos garde-frontières ne soient pas protégés, qu’ils soient menacés par les armes des contrebandiers sans moyens de défense adéquats?

Une situation sécuritaire fragile et risquée 

La situation sécuritaire est de plus en plus fragile, un gouvernement qui prend des décisions à l’encontre de la logique et du bon sens comme le fait de libérer plus de 9.000 prisonniers sans aucun suvi et aucun controle préalable, ce qui est incompréhensible dans un état avec a leurs tete des gens competent. Le climat sécuritaire est encore plus fragilisé car laissé à la merci des actes de violence des salafistes et du grand banditisme, personne ne saura se défendre quand ca explosera. Meme la police ne bouge pas !
«La sécurité des touristes reste quand même douteuse puisque des touristes français ont confirmé à ma sœur la semaine dernière avoir été braqués dans le nord et qu'ils l’avaient échappé belle.
Le bus d’autres touristes a été arrêté par des grévistes en pleine route alors qu'ils étaient en excursion à Gabès, ce qui ne les a aucunement rassurés», témoigne une résidente française en Tunisie, gérante d’une maison d’hôtes.

Les responsables de la Fédération tunisienne des agences de voyage (FTAV) et à leur tête Mohamed Ali Toumi qui modérait  il y a quelques mois tous sourires un séminaire sur le tourisme, en présence de Hamadi Jebali, pas encore chef du gouvernement, désespèrent. Leurs recommandations pour sauver leur secteur sinistré sont renvoyées aux calendes grecques.

Sur le site Tourismag, il vient de déclarer: «Plusieurs dizaines d'agences de voyage en Tunisie risquent de déposer bilan très prochainement si le gouvernement ne réagit pas immédiatement». Et d’ajouter: «Ces dépôts de bilan entraîneront de facto la mise au chômage forcé de plusieurs centaines d'employés, voire de plusieurs milliers dans les prochains mois».

Le tourisme agonise, les investissements ne reprennent pas mais le gouvernement reste optimiste et distribue promesses et déclarations d'intention dans les medias et a la radio.

La dernière declaration concerne la création d’une zone de libre-échange entre la Tunisie et l’Algérie qui créerait près de 20.000 emplois. Combien de temps prendra ce projet avant d’être mis sur les rails?

Fausses informations rassurantes

Et même le mirage d’avoir des gisements importants de pétrole dans notre sous sol reste au stade d’une information non confirmée et même douteuse rapportée par une personne qui, selon des spécialistes de la question travaillerait en dehors de sa spécialité et a dirigé cette étude pour l'USGS. Ceux qui ont véhiculé l’information d’une Tunisie baignant dans le pétrole représentent une petite société qui a pris une concession en Tunisie et qui veut lever de l'argent pour faire de l'exploration et des forages de recherche.
Ils ont commandé une étude qui évalue "théoriquement" les volumes probables en place. Suite à cela, leur action a grimpé, et ils peuvent maintenant, peut-être se payer leur campagne de sismique...».

La Tunisie aurait même été forée comme un gruyère et rien n'a été trouvé. Les majors qui ont les plus hautes compétences et les moyens ont quitté ce pays. Informations confirmées par l’Association tunisienne de la transparence dans l’énergie et les mines.

Au ministère de l’Agriculture, qu’attend-on pour soutenir les petits agriculteurs dans la contraction de prêts pour les semences? D’autant plus que les coopératives qui leur avançaient les aides dont ils avaient besoin sont, elles-mêmes, en difficultés? Le rééchelonnement des prêts agricoles n’est plus d’actualité et avec ces pluies, il y a un risque de mitadinage du blé. Plus de spots publicitaires de sensibilisation et de vulgarisation à l’intention des agriculteurs en haute saison, et si ce n’est la création récente du syndicat national des agriculteurs de Tunisie, ils seraient abandonnés à eux-mêmes en l’absence d’encadrement de quelque forme que ce soit, de liquidités et de soutien de l’Etat.

Au ministère de l’Enseignement supérieur, on réduit le nombre des bourses à l’étranger. Bizarre! Alors que c’est le contraire qui devrait avoir lieu. A tel point qu’un jeune directeur d’un cabinet de formation s’est éclaté: «Au lieu de réduire le nombre de bourses d'études à l'étranger, pourquoi ce gouvernement et son président ne réduisent pas le nombre de ministres-conseillers, conseillers et d'attachés? Ou bien les bourses sont réduites pour trouver des sources de financement aux salaires et aux avantages des nouveaux nantis et des privilégiés de l'Etat? C'est vraiment consternant!

Sur le terrain, les anciennes cellules du RCD sont devenues des écoles coraniques dans la plupart des cités populaires monopolisées par des prêcheurs qui refusent de partager ces espaces avec des associations scientifiques et culturelles et empêchent les jeunes de se former l’esprit par le savoir autant que par la foi. Ces familles seraient heureuses de savoir que ces espaces ne servent pas qu’au formatage des têtes de barbus, mais aussi à ouvrir leurs horizons sur les autres et le monde.

Ennahdha et ses alliés qui donnent l’impression de vouloir s’installer dans le pouvoir avec les 18 mois déclarés de Hamadi Jebali et les 3 ans désirés de Moncef Marzouki devraient revoir leurs copies au plus tôt dans le sens d’une plus grande ouverture sur la Tunisie citadine, les régions et les zones rurales. Ils devraient prendre plus au sérieux les critiques, revendications et recommandations. Les Tunisiens sont un seul peuple et, in fine, ce qu’ils veulent, c’est vivre dignes et respectés. Il n’y a pas de dignité sans travail et il n’y a pas de respect sans l’acceptation de l’autre aussi différent soit-il tant que le but est le même pour tous.

Ni l’imagination, ni la volonté, ni l’action ne semblent être au pouvoir. Tout juste une fuite en avant comme savait si bien le faire les politiques de l’ancien régime. En conclusion je vais dire que Ennahda c'est faire du militantisme sur le terrain, mais ne sait pas gouverné car ils sont incompetent a la base dans tout les domaines. C'est triste a dire et c'est les citoyens qui en paye les conséquences.

vendredi 10 février 2012

Le désespoir au kef pousse des Tunisiens à porter le drapeau algérien et à se diriger vers les frontières

Mauvaise gestion au sommet de l'etat

Suite a une absence et a une mauvaise gestion des autorité et a un climat a l'abandont où le désespoir a poussé des Tunisiens (du Sud-Ouest) à se diriger vers l’Algérie et demander la naturalisation. On la croyait révolue après le 14 janvier, mais hélas elle s’est répétée ce matin, vendredi 10 février 2012, du côté de Kalâa El Khesba, dans le gouvernorat du Kef.

Des Tunisiens se dirigent, en groupe d’hommes, femmes et enfants, vers les frontières algériennes tout en portant le drapeau vert et blanc de notre voisin de l’ouest. Une route d’une bonne trentaine de kilomètres qu’ils ont parcourue, à pied.

La vidéo a été prise ce matin par Khaled Chikhaoui et a été authentifiée par notre confrère Sofiane Chourabi.

vendredi 3 février 2012

Le salafisme se devellope a Bizerte

Tunisie : le salafisme maintenant à Bizerte

Suite aux derniers événements qui ont émaillé la vie sociale et économique au début de ce mois de janvier à Sejnane, force est de se rendre à cette évidence que le salafisme comme a Bizerte.

A Bizerte il peut paraître surprenant que dans les grandes cités ces gens puissent proliférer et agir en toute liberté, pratiquant un ardent prosélytisme dans les mosquées, les lieux publics. Une ardeur qui laisse pantois tant elle se fait avec une insistance gênante.

Dans les grandes villes, les signes de misère sont patents dans ce qu’il est convenu d’appeler les cités ou quartiers populaires. Les salafistes y trouvent un terrain des plus favorables ainsi qu’une oreille attentive à toute sorte d’idéologie et des principes aussi insidieux soient-ils. Donc, il n’est nullement étonnant, en ces jours bien troubles, de voir grossir les rangs de ces trublions dont les propos mielleux, édulcorés peuvent prendre, en cas de contestation, des accents de menace mal déguisée.

Certains citoyens à Bizerte ville ont eu maille à partir avec ces individus qui les abordent pour remettre en question certaines coutumes et les présenter comme pêchés. L’on a même craint que de telles scènes dégénèrent. Mais le bon sens finit par prévaloir chez les citoyens qui invariablement mettent fin à ces palabres par un résigné « Rabbi Yahdi ! ».





A Bizerte, cette mouvance opère au grand jour. Ses adeptes ont élu domicile dans une mosquée de la vieille ville et leur nombre a tellement grossi que ce quartier a été baptisé « Kandahar » en référence à la ville afghane. On les appelle « les Afghans ».

Cela ne semble nullement les gêner, mais leur donne une énergie toujours renouvelée pour renforcer leur action. En l’absence de tout garde-fou, faut-il préciser, on est tenté de le dire, la bénédiction des autorités de tous bords.
En attendant que ces gens soient mis au pas et rappelés à l’ordre, ils entament leurs journées avec toujours le même zèle. Et gare à celui qui oserait leur tenir tête.

jeudi 2 février 2012

Hamadi Jebali - Le tourisme ne connait pas la crise en Tunisie


Le Premier ministre Hamadi Jebali declare que le tourisme redécolle et que les islamistes sont respectueux des lois et qu'il ne cause aucun probleme en Tunisie. Dans cet interview Hamadi declare que la justice est independante et que elle prend des initiatives pour faire respecté la loi ...
 
Au nivreau communication ont dirais un singe qui parle, ont voit bien que la personne est incompetente pour gouverné un pays. Ennahda c'est juste faire du militantisme sur le terrain, mais quand il s'agit de gouverné c'est 100% incompetence dans tout les domaines.

Interview par France24 - janvier 2012 a Davos





Google+