mercredi 21 mai 2014

Les militaires font de la politique

Des militaires a la tête des régions tunisienne





Militaire Tunisie
Des militaires et des membres du ministere de l'interieur sont vos nouveaux gouverneur !


Dorenavant vous devrez etre au garde a vous. Dans toute dictature, les militaires ont le pouvoir suprême d'occupé des postes politique sans etre élus par la population. La Tunisie n’échappe pas à la regle suivante. Désormais et ainsi le gouvernement du premier ministre Medhi Jomaa a décidé de nommé des militaires pour occupé des postes de gouverneur. Les 3 regions ou les militaires de la defense et du ministere de l’interieur contrôle le territoire sont décris plus bas dans l’article.  ....
Le gouvernement justifie c'est choix par le faite que les militaires et les fonctionnaire du ministere de l’interieur nommé aux postes de gouverneur sont compétent, fiable et que il n'y a pas dans l'administration publique des citoyens capable d'administré une région entière.

Evidemment comme dans toute dictature les hommes politique n'en pipe mot et ne vous donnerons jamais le nom des régions ou les militaires ont pris le contrôle. cela dans le but que les citoyens reste bete et asservis par le pouvoir politique. Comme au temps de du dictateur Ben ali, les mêmes méthodes se répète, c'est a pensé que le peuple tunisien est inculte et qu'il ne mérite pas d’être informé ...
Et tout cela c'est secrétaire d’Etat aux affaires régionales et locales, Abderrazak Ben Khelifa qui le repete aux medias.

En tout cas faudra que l'ont m"explique en quoi des militaires ont une parfaite connaissance des régions et de leurs préoccupations en matière de développement ? Question évidemment qui restera sans réponse, car les militaires sont la pour faire la guerre, et non du développement économique. 
Et tout ce beau monde beneficie d'un salaire de 3000 a 4000 dinars par mois avec les avantages qui vont avec bien sur. Pour un pays endetté jusque au coup et de crève la faim, voila un mauvais exemple de gestion public qui continue chez nous.


Des amateurs et du n'importe quoi dans le clientelisme


Parmis c'est gouverneur, ont trouve des gouverneurs issus du ministere de l'interieur et des clowns qui ont géré des fermes agricole. Petit tours d'horizon des clowns nommé gouverneur et qui vont touché le jackpot.

Militaire : Tahar Matmati, nommé comme nouveau gouverneur du Kef est né le 10 octobre 1953 à Bizerte. Le Taher Matmati exerce le poste de gestionnaire administratif au sein du cabinet du ministre de la défense. Donc un militaire qui n’a aucune expérience de la chose publique !

Ministere de l'interieur : Monsieur Atef Boughatass est nommé gouverneur de Kasserine, il est né le 29 janvier 1974 à Bizerte. 

Il a un certificat d'études supérieures en marketing et un master en E-Commerce.  Il a travaillé dans un tribunal cantonal en tant que gestionnaire des dossiers administratif. 
Il a  a intégré le ministère de l'Intérieur le 7 avril 2012 en tant que premier délégué de Sousse puis Sfax.

Militaire: Mustapha Ben Moussa est le nouveau gouverneur de Gafsa et il est né le 19 janvier 1953 à Zaghouan. Il a occupé le poste de gestionnaire de matériel militaire au sein du ministère de la défense et a acquit une expérience dans le domaine de gestion de projets agricoles rurale dans le domaine du monde agricole.
Mohamed Mansouri nommé gouverneur de Tozeur est né le 5 février 1960 à Kasserine. 
Il détient une licence en gestion sociale de l'Institut national de l'emploi et des études sociales. Membre du ministere de l’interieur, celui reste discret sur c’est fonction passé …

Ministere de l'interieur: Mohamed Mansouri a été nommé gouverneur de Tozeur et est née le 5 fevrier 1960 a Kasserine et a intégré le ministère de l'Intérieur depuis 9 ans maintenant.   
Il a également intégré le ministère du tourisme en tant que directeur de la cellule d'encadrement des investisseurs. Tout un programme c’est investisseur fantome ! 
Mohamed Mansouri est, depuis 2012, secrétaire général du gouvernorat de Bizerte aussi ....
Fermier : Saber Mednini, le nouveau gouverneur de Tataouine est né le 21 août 1968 au Kef. 
Il a exercé en tant que gestionnaire d'une ferme agricole pour aller rejoindre ensuite en 2000 le ministère de l’agriculture et occuper le poste de directeur de formation professionnelle agricole dans plusieurs régions à savoir Siliana, Sidi Bouzid, Kasserine et de Béjà. Il sait doté d’une expérience administrative dans la gestion des fermes au niveau administrative et dans l'encadrement des agriculteurs et des activités de formation dans le domaine. Les fermier dans les regions vont etre content de trouvé une oreille attentive ….



lundi 19 mai 2014

Justice du moyen age

La justice tunisienne largué


Le terroriste tunisien à été condamné a 75 euro d'amende par ce qu'il avait dépassé une voiture en double file loool
Le terroriste tunisien à été condamné a 75 euro d'amende par ce qu'il avait dépassé une voiture en double file loool

Ont croit révé mais non c'est la realité d'une justice digne du moyen age qui se joue tous les jours. Ont apprend dans les journaux que le terroriste numero 1 de Ansar Charia en Tunisie Abou Iyadh et Ezzeddine Abdellaoui (tous deux en fuite) ont été jugés pour une infraction au code de la route pour des faits qui date de decembre 2011. L'amende pour c'est voyageurs terroriste est de 150 dinars ! Les juges plus tordu les uns que les autres ont trouvé le moyen de poursuivre l'affaire devant les tribunaux seulement ce lundi. 

C'est deux terroristes ce sont en fait contrôlé a Feriana dans le gouvernorat de Kasserine par la garde nationale a qui la police leurs a demandé de presenté leurs leurs vrai papier d'identité. Et par je ne sait quel miracle il ont pu continuer leurs bonhomme de chemin en voiture.L'affaire se corse pour la garde national quand elle a intercepté la voiture par ce que celle ci avait doublé une autre voiture. Elle a laissé continué la voiture et na arrété aucun occupant apres controle ! Inutile de vous dire que ca merite un gag video et ont sait tous pourquoi la justice reste toujours aussi miserable en Tunisie .... 


jeudi 8 mai 2014

Financement campagne électorale

Partis politique cherchent mécènes



campagne electorale en Tunisie
les hommes d'affaires et les pays etranger joue un role dans les financements des partis politique

À rapproche des scrutins législatif et présidentiel, prévus peut etre dans le courant de l'année 2014 et rien n'est moins sur, les états-majors des principales formations politiques affûtent leur stratégie... et comptent cherchent leurs sous.

Convaincus qu'il fallait soutenir l’élan démocratique et, par conséquent, les partis, nous avions donné pratiquement à tous ceux qui nous avaient sollicités, surtout les formations emmenées par des opposants à Ben Ali. Mais la débâcle économique est telle que nous pouvons considérer que le retour sur investissement a été nul. Nous ne sommes pas près de reproduire cette erreur », déplore le dirigeant d'une société d'ingénierie informatique. Lequel n’est pas le seul chef d’entreprise à avoir été échaudé par la cacophonie politique. Nasr Chakroun, patron de GlobalNet, qui avait apporté son soutien financier et logistique au Congrès pour la République (CPR), parti fondé par Moncef Marzouki, actuel président de la République, a lui aussi pris ses distances.

Au lendemain de la révolution, toutes les bonnes volontés avaient été sollicitées pour construire une classe politique et contribuer dans la foulée à l'élection de la Constituante. Depuis, beaucoup d'eau a coulé sous les ponts. Sur les quelque 150 partis créés en 2011, certains ont fusionné, d'autres ont disparu ou se sont fondus dans des pôles majeurs, tels qu'Ennahdha, Nida Tounes ou encore le Front populaire.
Privés de subventions sauf pour les campagnes électorales -, tous ont été épinglés par la Commission mixte pour la transparence financière et par la Cour des comptes pour ne pas avoir présenté leur bilan, comme les y oblige le décret-loi n° 87, qui régit l'exercice des partis politiques. « Ces décrets-lois font de la transparence une condition essentielle. Or aucun des partis politiques ne mentionne ses sources de financement sur son site web, alors que certains déboursent jusqu'à 500 000 euros rien qu'en frais de location pour leurs bureaux », s'étonne Ibrahim Missaoui, président de l'Association tunisienne de lutte contre la corruption (ATLCC). Pour les instances de contrôle, l'examen des comptes de tous les partis et des quelque 16000 associations est un vrai casse-tête. Habib Koubaa, directeur au ministère de la Gouvernance et de la Lutte contre la corruption, estime qu'outre « le cadre légal il faut donner aux structures de contrôle des moyens de communication modernes pour accéder aux comptes bancaires, tel que le dispose la loi ».


Pourtant, aussi bien Ennahdha que Nida Tounes déclarent la main sur le cœur que leurs sources de financement sont principalement assurées parles cotisations et les dons. Ajmi Lourimi, chargé de la communication de la formation islamiste, précise : « Tous nos fonds sont à 100 % tunisiens ; ce sont nos adhérents, militants et sympathisants qui versent leur contribution à Ennahdha, comme jadis nos femmes et sœurs vendaient leurs bijoux pour soutenir notre lutte. Nous détenons trois comptes courants bancaires, tenons des livres comptables détaillés et disposons d'experts-comptables et auditeurs. Nos comptes sont ouverts à tous ceux qui veulent les consulter, et nous nous soumettons volontiers à tout contrôle. Nous n'avons rien à cacher. Mieux, nous souhaitons que le financement des partis politiques soit totalement transparent. » Pourtant, Ennahdha, à laquelle une grande partie de ses 70000 adhérents reversent 10 % de leurs revenus, n'a jamais publié de comptes, hormis ceux de la campagne électorale de 2011. Du côté de Nida Tounes, Faouzi Elloumi, patron du groupe Chakira et membre du bureau politique du parti, n'a pas de complexe ; il confirme un apport personnel annuel de 30 000 euros, le plafond autorisé par la loi, et assure que de nombreux décideurs en font autant. Mais le parti étant dans sa première année d'exercice effectif, il n'a pas encore eu à publier ses comptes.

RÉSEAUX
Avec les seules cotisations annuelles (5 euros en moyenne) et dons (difficiles à quantifier), il est presque impossible de boucler les budgets. Souvent, les membres des bureaux politiques mettent la main à la poche. Chez les destouriens d’Al-Moubadara, chacun d’entre eux participe à hauteur de 250 euros annuels. Les partis se maintiennent également à flot en utilisant leurs réseaux pour diminuer leurs dépenses. Un ami hôtelier mettra gracieusement à la disposition d'un parti une salle pour une réunion, tandis qu’à chaque déplacement les locations de moyens de transport sont négociées par les organisateurs. Mais la Commission tunisienne des analyses financières (CTAF) a répertorié, à partir de notifications bancaires, plus de 200 financements douteux de partis et d'associations et juge nécessaire la publication des comptes des formations politiques avant les élections. À ce jour, seule l'Alliance démocratique s'est acquittée de ce devoir.

Mais ce n'est pas tant la gestion des partis qui inquiète l'opinion publique que celle de la prochaine campagne électorale. L'étape est délicate, d'autant que l'expérience du scrutin de 2011 n'a pas été concluante.

L'État avait contribué à hauteur de plus de 5 millions d'euros au financement de la campagne des uns et des autres, à charge pour ceux qui avaient recueilli moins de 3 % des suffrages de rembourser les sommes avancées. À ce jour, « des listes candidates doivent restituer au Trésor de l'État la somme de 2,42 millions d'euros au titre du financement public de leur campagne électorale », indique Abdelkader Zgolli, président de la Cour des comptes. Et aucun na encore remboursé un centime ...

Faire appliquer la loi mais également en colmater les brèches seront deux des attributions de l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), qui vient à peine d'être désignée par la Constituante mais à laquelle aucun budget n'a encore été attribué. Et si les magistrats de la Cour des comptes, comme Aïcha Belhassan, relèvent des ambiguïtés dans la loi - laquelle use du terme de « financement privé » alors que celui-ci, autorisé pour des dépenses de fonctionnement, est strictement interdit pour soutenir une campagne électorale -, les institutions, telles que la Banque centrale de Tunisie (BCT), sont surtout attentives à d'éventuels apports de fonds étrangers. Mais à l'approche des scrutins législatif et présidentiel prévus dans le courant de cette année, les partis sont déjà dans les starting-blocks. Nida Tounes s'est adressé à l'agence parisienne Optimus pour une formation en matière de levée de fonds, tandis que les principaux hommes d'affaires sont discrètement approchés par différentes formations qui veulent s'assurer des rentrées d'argent au plus vite. 

Associations de bienfaiteurs ...

L'association Marhama, présidée par Mohsen Jendoubî, membre du Conseil consultatif d'Ennahdha, ne se contente plus de collecter et de redistribuer des dons. Elle a mis à profit des fonds débloqués par Qatar Charity pour reloger, en moins de neuf mois, vingt-six familles nécessiteuses de Fouchana (gouvernorat de Ben Arous) pour un montant de 48000 euros. Ce n'est que la première étape d'un plan de développement plus ambitieux dans la droite ligne de la vision islamiste, qui prône un désengagement de l'État des questions sociales et son remplacement par la société civile. Depuis 2012, la multinationale humanitaire qatarie a alloué 7,5 millions d'euros - prélevés sur la collecte du zakat, l'aumône légale (2,5 % des revenus de chaque musulman-en faveur d'un programme d'urgence en Tunisie. Cette enveloppe, destinée à financer la réhabilitation d'infrastructures, le réaménagement de terres agricoles, ainsi que la construction de logements sociaux, d'écoles et de structures sanitaires, a été répartie entre trois associations, dont l'Association caritative de solidarité sociale et Tunisia Charity, qui bénéficie également d'apports financiers d'ONG islamiques, telles que Human Appeal, World Assembly of MuslimYouth (Wamy) ou Islamic Relief, basées en grande bretagne ou en Arabie Saoudite. Le decret loi n88 de 2011 reglementant le financement des associations ne prevoit aucun plafonnement des dons et n'interdit pas d'avoir recours a des sources étrangeres. C'est une faille qui peut conduire a une ingerence etrangere, elle associe certaines actions de bienfaisance à du prosélytisme religieux.

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