dimanche 31 mars 2019

Des vehicules neufs dans un pays en crise pour un sommet arabe

Béji Caïd Essebsi s'offre des 4x4 GMC pour le Sommet arabe


Dans le cadre du sommet arabe ou tous les dictateurs et hommes politiques seront présent et dans un cadre de crise financière du pays, le président Beji sait offert sur le budget de la présidence une flotte de 34 véhicules américains tout neufs pour la somme de 3 millions et demi de dinars. Les contribuables peuvent dire merci. 















samedi 30 mars 2019

Séquestration d'un diplomate de l'ONU en Tunisie

Trafic d'armes en Tunisie




Justice tunisienne
Un diplomate de l'ONU dors en prison sur ordre du procureur du tribunal de Tunis



Cela se passe comme dans les films d'espionnage, sauf qu’ici nous sommes en présence d'abrutis et de singes qui gouverne encore a l'ancienne un pays qui a fait une révolution de printemps sur le papier en 2011 et qui s'y prend mal pour régler cette histoire.

Notre enquêteur de l’ONU s’appelle Moncef Kortas c’est un haut fonctionnaire issu de l'organisation internationale ONU, qui est donc un diplomate avec une immunité qui le protège dans le cadre de son activité professionnelle pour le compte de l'ONU partout ou il est en mission. Mais voilà, ce fonctionnaire se trouve être un ressortissant tunisien et allemand.

La justice tunisienne pense qu'elle est au des lois vu que le diplomate a la nationalité tunisienne et que l'état tunisien qui a signé les des conventions de vienne pour l'immunité diplomatique ne lui concerne pas.

De passage en Tunisie pour aller en Libye ce 26 mars, l'état tunisien a envoyé huit agents, plus quatre chauffeurs a sa rencontre à l’aéroport sur le parking pour le mettre en état d'arrestation sur ordre du procureur de la République de Tunis. Le motif: espionnage, écoute, matériel d'espionnage, suspicion d’intelligence avec des parties extérieures et touti quanti ....

Le plus beau dans l'histoire c'est que sait pas n'importe qui est saisis de l'affaire, c'est Béchir Akremi. Celui ci est un procureur de la République du Tribunal de première instance de Tunis, c'est une marionnette du parti islamiste Ennahda au pouvoir au sein du gouvernement. À chaque fois que celui-ci est saisi, il agit soit pour noyer le poisson ou bien pour agir en radio commandée pour les islamistes d'Ennahda en sous-main; donc un homme de paille pour faire taire ceux qui parle de trop.

Dans ce type d’affaires, la justice utilise l’article 13 du code de procédure pénale tunisien qui permet au procureur ou au juge d’instruction de retarder l’accès à un avocat de 48 heures à compter du début de la détention en plaçant le diplomate en prison pour qu'il n'ait pas droit à un avocat.

La loi donne également au procureur le droit de retarder l’accès à un avocat pendant les 48 premières heures de détention pour les affaires de terrorisme et d'espionnage. Dans ce qui constitue un abus manifeste des droits d’un détenu, le procureur semble invoquer systématiquement cette disposition dans ce type de dossier. Et si le détenu n'a pas d'avocat, il n'a qu'à se débrouiller ou attendre des semaines après une démarche bureaucratique hypothétique pour qu'un avocat lui soit commis d'office.

Pour ce qui est des faits invoqués dans les médias, tous les agents et journaliste d'influence sont mis a contribution dans les rédactions tunisienne,  la presse, radio, web, sont mis a contribution pour soutenir les thèses et la propagande du pouvoir judiciaire, à commencer par le porte-parole du ministère de l'Intérieur :  à travers la porte-parole la justice qui est aux ordres du pouvoir politique, elle affirme que le procureur reproche au diplomate de ne pas les avoirs (ONU) prévenus du passage du diplomate sur le territoire tunisien, de ne pas etre porteur du passeport diplomatique au moment du franchir la frontière de l'aéroport et d'espionnage. Comprenne qui pourra...


Mais au fait que fessait le diplomate à Tunis ? Arrêté le 26 mars 2019 en fin d'après-midi, le diplomate enquêtait sur le trafic d'armes en Tunisie depuis 3 ans. Le pays servait de transit avec des hommes de pailles de l'appareil militaire et politique du partis Ennahda. Ce qu'il a découvert fait trembler les responsables politiques du parti au pouvoir CPR et Ènnahda de l'époque. Car comme dans tout trafic d'armes il suffit de suivre la piste de l'argent sale dans le sud et dans la capitale tunisienne pour comprendre que tout le monde a bénéficié du droit de passage et autre commission dans le trafic d'armes à travers la Tunisie.

En plus de cela l'enquêteur Moncef Kartas récoltait des sources d'information dans la place qui donnait des noms de politiciens aux commandes du pays, sur le role de l'armée tunisienne au frontiere etc ... . Ajouté a cela le nom de la Turquie et le Qatar qui sont des alliers proches du parti islamiste au pourvoir Ennahda et avec cela un sommet arabe qui arrive dans 3 jours, vous aurez droit a une panique a bord en cas de révélation lors du somment de la ligue arabe.  Et comme tout le monde se tient par la moustache et que les élections approchent, faudrait pas qu'un tonnerre n'arrive à éveiller les esprits parmis la population avec les elections au pays.


Alors pour neutralisé le diplomate qui a eu le malheur de mettre sont nez dans les histoires du trafic d'armes, certain ont décidé en haut lieux de le mettre hors d'état de nuire et de saisir tous les documents qui se rapporte a l'affaire pour découvrir qui dit quoi et fait quoi dans le dossier. Et tant pis pour la valise diplomatique.

Dans tous les cas, l'état tunisien ment et joue double jeu face a l'ONU en instrumentalisant une justice qui na que de noms. Même l'ancien dictateur Ben Ali n'aurait jamais osé mettre en prison un diplomate étranger, mais apparemment les islamistes et leurs associés eux n'ont apparemment pas peur.

Ni le monde politique et aucun ministre du gouvernement et ni le conseil supérieur de la magistrature ne lève le doigt ne s'est exprimé jusque aujourd'hui sur cette injustice qui continue. Pour couronné le tout, l'état tunisien et ça justice corrompue qui ne respecte meme pas le droit et les convention que le pays a singer qui reconnait l'immunité dont jouis l'enqueteur Moncef Kartas, nous parles de matériel d'espionnage et d'écoute. Comme on a l'habitude chez nous de comprendre les grandes manoeuvres des petits esprits enchantés, tout système de communication ou de téléphone crypté de communication est un système d'espionnage pour le monde judiciaires et le ministère de l’Intérieur. Les experts en mission pour les Nations Unies, comme Monsieur Kartas, sont couverts par la Convention sur les privilèges et immunités des Nations Unies.


Pression sur l'avocat 

Ils existe au sein du ministere de l'interieur un groupe de policier qui utilise les memes methode de l'epoque du dictateur Ben ali, la pression sur les citoyens tunisien. L’avocat Hassen Ghodhbani a annoncé, ce jeudi 18 avril 2019, qu’il renonçait à défendre l’expert onusien, Moncef Kartas devant le pôle antiterroriste . Cette décision résulte selon l’avocat aux pressions et ingérences qu’exercent sur lui certaines parties pour tenter de l'influencer et de le contrôler dont le but est de na offrir une prestation a l'accusé. De plus toute les communications electronique, orale, courier postale sont surveillé par le ministere de l'interieur dont le but est de connaitre les moindres geste de l'avocat avec sont client et l'ONU.

Qu dit la section 22 de l’article VI de la Convention sur les privilèges et immunités des Nations Unies auquel la Tunisie a adhéré:
’Les experts lorsqu'ils accomplissent des missions pour l'Organisation des Nations Unies jouissent, pendant la durée de cette mission, y compris le temps du voyage, des privilèges et immunités nécessaires pour exercer leurs fonctions en toute indépendance. Ils jouissent en particulier des privilèges et immunités suivants : immunité d'arrestation personnelle ou de détention et de saisie de leurs bagages personnels ; immunité de toute juridiction en ce qui concerne les actes accomplis par eux au cours de leurs missions (y compris leurs paroles et écrits). Cette immunité continuera à leur être accordée même après que ces personnes auront cessé de remplir des missions pour l'Organisation des Nations Unies ; inviolabilité de tous papiers et documents...’’
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