lundi 27 août 2012

Le blanchiment d'argent sale chez Ennahda

Chez Ennahda le businessman et les porteurs de valise voyage en premiere classe


Le porteur de valise chez Ennahda
Belgacem Ferchichi, conseiller du Chef du gouvernement tunisien qui sait fait arretté a PAris a l'aeroport nie en bloc avoir transporté une valise d'argent sale a la frontiere francaise. M. Jules journalise francais a indiqué que Belgacem Ferchichi a été arrêté par la douane française "avec plein de liasses de billets de 100 dollars, des centaines de milliers de dollars, probablement atteignant le million.

M. Ferchichi nie en bloc l'argent sale et déclare s’être rendu en France pour une visite familiale à l’occasion de l’Aïd, ne pas avoir été au Qatar, ni en Arabie Saoudite, depuis 7 ans et ne pas avoir subi plus qu’une vérification routinière de son identité. D’après lui, cela est facilement vérifiable sur son passeport, mais il ne donne cependant aucune preuve étayant ses dires dans les medias ....

Expliquant les fausse raisons et soit disant l’intox de son arrestation, Belgacem Ferchichi suppose que "certaines vieilles cellules" de l’ex RCD du dictateur Ben ali existe encore en France, seraient derrière cette "version diffamatoire des faits". "Le journaliste français, connu pour son manque de sérieux, dit-il, a dû être payé par ces résidus de l’ancien régime, pour nuire à ma personne et par conséquent à Ennahdha" a affirmé le conseiller du chef du gouvernement tunisien. Il a ajouté : "D’ailleurs, si l’histoire était vraie, elle aurait fait La Une de tous les médias français, ce qui n’est pas le cas !", fait-il remarquer.

M. Ferchichi, sur un ton ferme affirme son intention de porter plainte contre les médias tunisiens qui ont rapporté et relaté la fausse information. Il a même précisé avoir déjà contacté son avocat .
Le message destiné aux médias tunisiens est clair : ils seront trainés en justice avant même le journaliste français s’ils continuent à jeter la lumière sur cette affaire.

In fine, aucune suite ne sera donné par la justice en Tunisie, vue que le mot justice n'existera jamais. Les porteurs de valise qui finance les singes d'Ennahda ont encore de beaux jours devant eux 

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