mercredi 5 septembre 2012

Journeaux interdit de publication en Tunisie

Les methodes du dictateur Ben ali chez Ennahda


Un babouin d'Ennahda qui s'apelle Rached Kheriji et qui se fait appellé en Tunisie Rached Ghannouchi !!!


Comme au temp et a l'epoque du dictateur Ben ali pas si tres lointain, les journeaux sont interdit de publication et cela avec le concours de l'etat qui ordonne au force de police de saissir tout les kioske a journeaux du pays! Decidement les singes d'Ennahda copie les methodes du dictateur Ben ali, c'est pas demain la veille que la democratie existera en Tunisie evidemment .

Assabah et de Le Temps etait absent jeudi dans les kiosques. Bien que 15.000 exemplaires d’Assabah aient été imprimés, les forces de l’ordre ont saisis et empêché la distribution.La distribution du journal a été empêchée sur instruction de Lotfi Touati, le directeur général nommé par Ennahda et qui est contesté par les journaliste en raison de sont precedent emploi au Ministere de l'interieur pendant des dizaines d'année. La raison : il contient, dans sa page 3, la pétition des journalistes contre ce nouveau directeur imposé par le gouvernement nahdhaoui.


La journée du mercredi 29 août était l’une des plus chaudes dans l’histoire des médias tunisiens. Décidés plus que jamais à défendre leur indépendance et à rejeter la mainmise du pouvoir sur leur ligne éditoriale, les journalistes n’ont pas abdiqué face au dictat des autorités barbus. Ils ont été soutenus dans cette démarche par le Syndicat national des journalistes tunisiens (Snjt) et le Syndicat de la culture et de l’information affilié à l’Union générale tunisienne du travail (Ugtt), dont les deux responsables, Néjiba Hamrouni et Nabil Jmour étaient présents pour soutenir leurs collègues.






Néjiba Hamrouni et les journalistes de Dar Assabah tiennent en main le numéro qui ne sera pas diffusé dans le pays ...

Après le sit-in observé durant la journée et qui s’est poursuivi dans la nuit, Lotfi Touati a tenté, en vain, d’empêcher l’édition des deux quotidiens. Animés par la volonté et le courage, journalistes et techniciens ont mis la main dans la main et la livraison était prête à la distribution. Il était donc 23H45.




La page 3 censurée et remplacée en dernière minute par le directeur général d'Ennahda.


Des policiers en uniforme et d’autre en civil ont alors débarqué dans l'imprimerie et ont empêché les ouvriers de poursuivre leur travail de d'impression et de distribution. La diffusion est interdite sous les singes d'Ennahda comme sous le dictateur Ben ali. Reste à s’interroger sur la valeur juridique d’une telle décision....

On apprendra par la suite que le nahdhaoui Lotfi Touati, soutenu par un technicien et en compagnie d'un agent de police a fait son intervention en changeant complètement la Une et en remplaçant la page 3 par de la publicité. C'était, selon Abdelhalim Rezqui, secrétaire général du groupe a Dar Assabah, après que les journalistes ne soient rentrés chez eux que les policiers sont intervenu pour bloqué les presses et saisir les journeaux.
Les journalistes et employés de Dar Assabah n’entendent pas se laisser faire. D’autres rebondissements sont attendus dans les semaines a venir.


Pour ceux qui vivent a l'etranger qui croie aux belles paroles des singes d'Ennahda, sacher que les barbus joue double jeux avec les européens !


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