vendredi 30 août 2013

La Tunisie va mendier de l'argent a l'Europe

La Tunisie est en faillite virtuel


Tunisie en faillite
La mauvaise gouvernance des singes du gouvernement amene le pays a mendier de l'argent aux etrangers ...

Oui le pays cours a la faillite d'ici peu, mais chuuut personne n'en parle a la télévision et dans les medias et surement pas le gouvernement de singe a barbes noire d'Ennahda que vous avez élu. La Tunisie est un pays riche qui peut se permettre d'avoir un président de la république du nom de Moncef Marzouki avec un salaire de 17 000 euro a vie, plus le loyer et l'électricité, voiture et garde du corp payer a vie sur les comptes publique. C'est grâce au dictateur Ben ali que le singes a lunette de la république peut se targer d'être plus riche que la vitesse de la lumière.

La Tunisie peut avoir un nombre incroyable de ministre et de secretaire d'etat a +- 2500 euro par mois de salaire (4500 dinars pour un ministre du gouvernement maximum). La Tunisie est un pays riche qui vie comme dans les republique bananiere et qui peut se permettre d'engagner 20 000 cloportes de la revolution dans l'administration publique du jours aux lendemains. Quand ont sait que l'administration publique a un niveau ZERO de productivité.  Le secteur privé lui n’a pas été le principal recruteur puisque l’investissement tourne au ralenti.

Le singe en Chef du gouvernement Ali Laârayedh a décidé de charger le ministère du Développement et de la Coopération internationale d'accélérer les procédures nécessaires pour solliciter un appui financier de l'Union européenne (UE) destiné à financer le budget de l'Etat en 2014 car les caisses sont vide ! Quand ont sait que la Tunisie depuis le debut de la révolution est dirigé par des incompétent dans tout les domaines, je me dis au final que plus rien ne m'etonne pour le future.

Les singes du gouvernement ont décidé de déployer un surcroît d'efforts pour la mobilisation des financements nécessaires à travers la recherche de nouvelles sources de financement à l'échelle nationale et internationale.
Ainsi une délégation politique de haut niveau sera envoyée aux pays influents au sein des institutions financières internationales pour leur présenter un bilan des réformes réalisées. Quand ont sait que le bilant il n'en existe pas, ce qui laisse songeur. Le gouvernement est incapble de reformé tout les secteurs, enseignement, economie, justice, police, emploi, corruption, jusque a l'heure d'ecrire c'est ligne, la Tunisie vie comme les republique bananiere avec des corrompus et des terroristes plus libre que l'air que nous respirons.

Quand aux projets des réformes programmées dans le cadre des prêt de précaution conclu avec le Fonds monétaire international (FMI), ou du programme d'appui économique avec la Banque mondiale (BM), la Banque africaine de développement (BAD) et l'Union Européenne rien n'est finalisé, tout est aux point morts.

Les prets conclu par la Tunisie


La Tunisie a emprunté de l'argent aupres des Etats-Unis avec garantie du pays sur le pret, du Japon 2x deja. De l'europe, du Fond monétaire international, de la Corée du Sud, de l'Allemagne, de l'AFD, de la France, de la Banque mondiale, Banque africaine, de l'Allemande et maintenant de l'Union Européennes ... Et pour finir la Libye avec qui ont a fait credit ! A qui le tours ?
Ca me laisse pantois, il a quelque chose qui tourne plus rond en Tunisie.... La mauvaise gouvernance va hypothéqué l'avenir de la jeunesse dans le future du pays quand il faudras passé a la caisse pour remboursé l'argent....Car croyé moi, quand aux actuel singes du gouvernement il toucherons leurs retraite dorée aux soleil pendant que le peuple devras payer leurs bêtises et leurs incompétences dans la gestion du pays.

Les «rémunérations publiques» ont augmenté de 47% en 3 ans


Les seules et uniques «performances» du gouvernement de singes en exercice actuellement seraient les «émunérations publiques qui ont explosé, passant de 6,8 milliards de dinars en 2010 à 7,7 milliards en 2011, et seraient de l’ordre de 10 milliards en 2013, soit une augmentation de 47% en trois ans. Les poste de fonctionnaire représenterait aujourd'hui 53% du budget courant de l’Etat.


Pour Michael Béchir Ayari, analyste franco-tunisien opérant pour "Tunisie International Crisis Group», s’exprimant sur l’agence de presse chinoise Xinhua, la Tunisie doit impérativement se doter d'une élite administrative et politique consensuelle en laquelle son peuple a confiance». Il appelle les composantes politiques du pays à mettre en sourdine pour un temps les conflits idéologiques parfois stériles qui paralysent les réformes politiques, économiques, sociales et sécuritaires, et déplore une situation où la Tunisie se trouve confrontée à un affaiblissement de ses institutions publiques, une faible croissance économique et une montée de la violence djihadiste et du commerce illicite dans l'économie du pays.


Au mois d’août 2013, alors que l’INS annonçait un taux de croissance de 3%, pour le premier semestre 2013, Standard & Poor's dégradait la note souveraine de la Tunisie de deux crans. Les raisons, estiment les économistes, sont à 90% politiques, étant donné qu’on ne peut parier sur un pays qui peut basculer dans le terrorisme de la violence et dans le blizzard qui couvre la visibilité politique.

Economie souterraine


Ce que n’oseraient pas dire les experts économiques en la matière, c’est que l’économie parallèle s’est élargie à cause du laxisme des singes du gouvernement face à son essor aux dépens de l’économie formelle, et que aux circuits économiques parallèles existants, se sont ajoutés les circuits de finances parallèles. Ce qui revient à dire que la Tunisie a aujourd’hui 2 économies. Seulement l’une est soumise aux lois et réglementations en vigueur et fait profiter le pays de ses revenus, alors que l’autre échappe totalement aux lois et opère dans un no man’s land légal et institutionnel.

Les risques de blanchiment d’argent, de financement d’activités illicites se rapportant au grand banditisme et au terrorisme ne s’en trouvent que plus amplifiés, mais personne n’en parle. Et tout récemment, Abdelwaheb Maatar, ministre du Commerce, faisait l’apologie de son ministère quant à la maîtrise des prix alors que tout le système gérant les secteurs des services et du commerce risque de s’effondrer dans le pays.

Mais que se passe-t-il quand un pays fait défaut? Quelles en sont les conséquences?



Comme les particuliers, un État se retrouve en défaut de paiement lorsqu’il vit au-dessus de ses moyens et n’arrive plus à payer ses dettes ou l’intérêt sur ses dettes. La Russie s’est retrouvée dans cette situation en 1998, en pleine crise asiatique. L’Argentine aussi, en 2002. Même les États-Unis ont été en défaut de paiement durant la guerre de Sécession (1861-1865). Mais contrairement à un particulier, un pays ne fait pas faillite à proprement dit, ce qui signifie que ses actifs ne sont ni saisis ni liquidés. Du reste, qui pourrait le faire? On parle ici d’États souverains.


Cela dit, la décision d’un gouvernement de cesser de payer ses créanciers a des conséquences graves. Ses coûts d’emprunt explosent. Un gouvernement peut toujours emprunter, mais les taux d’intérêt demandés par les prêteurs sont exorbitants. L’économie se contracte. La Russie et l’Argentine ont vécu cette situation: leur économie a plongé dans une profonde récession, avec son cortège de faillites d’entreprises et de pertes d’emplois.
La réputation du pays est entachée. Si des banques acceptent encore de prêter à un pays en défaut de paiement, d’autres préfèrent s’abstenir.


Les investisseurs peuvent aussi déserter le pays ou décider de reporter ou carrément laisser tomber un projet d’investissement, ce qui accentue la récession. Les marchés boursiers du pays en défaut s’écroulent également.
Quand un pays fait défaut, il doit absolument générer de nouveaux revenus. Il peut bien entendu vendre des actifs, comme des sociétés d’État.

Pour augmenter ses revenus fiscaux, un pays en défaut doit aussi tenter de relancer son économie en stimulant par exemple ses exportations. Comment? En dévaluant sa monnaie. Mais il y a un inconvénient : cela fait bondir l’inflation, ce qui nuit à l’économie.

Pour assainir son bilan financier, un gouvernement doit aussi sabrer drastiquement dans ses dépenses: prestation de services, achat de biens, investissements dans les infrastructures. Ce qui nuit aussi à l’économie et provoque souvent la révolte de la population.

Habituellement, un défaut de paiement prend fin lorsqu’un pays se rassoit avec les créanciers pour renégocier une nouvelle dette, avec de nouveaux échéanciers et des taux d’intérêt plus réalistes.
Au final l'un des problèmes avec ce gouvernement provisoire c'est qu'il va nous laisser que des ennuis durables ...



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