mardi 26 février 2013

Un âne au poste de premier ministre en Tunisie


Du sang sur les mains et il devient premier ministre en Tunisie


Ali Laârayedh, portrait d'un ane a la tête de l’état en Tunisie
Ali Laârayedh, portrait d'un ane a la tête de l’état en Tunisie


Triste nouvelle en Tunisie, Rached Kheriji alias Rached Ghannouchi continue a jouer les sorcier en Tunisie. Lui et sa bande de singe continue a faire la pluie et le beau temps en totale inconscience. Ainsi donc Ali Laârayedh a été nommé le 22 février 2013 chef du gouvernement au poste de premier ministre après le vote des membres du Conseil de la Choura d’Ennahdha (sorte de bureau politique élargi composé d'ane et de singe) et la bénédiction du président de la République et « grand » militant des droits de l’Homme, Moncef Marzouki.

Portrait d'un ane d'Ennahda nommé premier ministre
Depuis décembre 2011 suite au élection et a la date de son entrée en fonction en tant que ministre de l’intérieur, il a multiplié les bavures  qui auraient dû en temps normal dans un pays démocratique le pousser à la démission, mais en Tunisie la démission n'existe pas.

1 er echec

Une de ses premières erreurs en temps que ministre de l’intérieur, c’était l'interdiction d'une manifestation organiser des partis de l’opposition le 9 avril 2012, en réponse aux provocations de salafistes quelques jours plus tôt. Mais ce jours la, le ministre organise et permet aux Islamistes une manifestation violente contre l'opposition. Le ministre aurait permit en toute impunité aux islamistes d'usé de méthodes assez violentes pour contrer cette manifestation pacifique dans les rues du centre ville et tout cela sans que la police n'intervienne. Vu les abus enregistrés ce jour-là, une commission d’enquête a été mise en place au parlement et on a convoqué le ministre de l'interieur devant les députés. Il a fait alors faux bond et, quand il est arrivé des semaines plus tard, il a répondu : « mais c’est de l’histoire ancienne ! ». Quant à la commission des faits ce jours la, on attend encore ses résultats ....

2 eme echec

Début septembre 2012, une jeune fille est violée par trois ripoux de la policie. Le porte-parole du ministère de l’Intérieur banalise les faits et justifie le viol en déclarant que « la patrouille suspectée était en train d’accomplir son travail d’inspection lorsque la fille en question "a été trouvée dans une posture immorale avec son compagnon ».  Comme si le fait de se trouvé dans une posture sexuel avec sont compagnon pouvais justifier le viol d'une fille par les 3 policiers !
Quelques semaines plus tard, et vu l’ampleur de la polémique, le ministère de l’Intérieur dénonce l’instrumentalisation politique et médiatique de l’affaire. Selon eux le ministre de l'interieur il faudrais ne rien denoncé dans cet affaire. Suite a l'affaire du viol qui a fait le tour du monde, la fille est convoqué aux tribunal par les trois policier pour mensonge et manipulation de l'affaire.

3 eme echec
Encore une fois, une nouvelle affaire fait le tour du monde et porte prejudice a l'image du pays tout entier dut a l’incompétence du ministre de l'interieur. Le 14 septembre 2012, des Salafistes ce sont organisé et pénètrent de force dans l’enceinte de l’ambassade américaine à Tunis et causent de gros dégâts matériels et brule, saccages de vitres, incendie de véhicules, vols de materiel dans l'ecole… Et que voit-ont sur les images ? Des barbus et des salafistes qui porte leurs drapeau noir au dessus de l'enceinte de l'ecole. Outre l’ambassade, l’école américaine a été totalement saccagée et mise à feu ce jour-là La tension était pourtant à son comble, les hommes ne manquait pas et il suffisait de bien se préparer pour éviter l’incident. En réponse, M. Laârayedh déclare : « nous les attendions par devant, ils sont venus par derrière ».  Fou rire garanti si c’était un gag video, mais ont est en Tunisie pays des ânes et des singes qui gouverne le pays comme une épicerie ....
Il a fallu l’intervention des hommes de la garde spéciale de la présidence de la République pour limiter les dégâts des affrontements qui ont causé trois morts et plusieurs blessés. Il y a eu des arrestations, mais l’essentiel des barbus et des djihadiste et des personnes arrêtées à l’époque a été libéré après un mois de prison seulement. Preuve encore une fois que la justice n'existe pas et que la justice fonctionne a deux vitesses.  Un pays comme la Tunisie qui en 2012 qui n'arrive pas a proteger une ambassade sur sont propre sol,  est la preuve que c'est un pays qui est dirigé par des singes au sommet de l'etat.

4 eme echec

Une des personnes impliquées et qui a dirigé les attaques sur l'ambassade et les affrontements a distance s’appelle Abou Iyadh. Il s’est permis au vu de tous le 17 septembre d’humilier publiquement les forces de l’ordre en prononçant un discours de haine et méchanceté à la mosquée El Fath en plein cœur de Tunis. Bien qu’il était activement recherché que la mosquée etait encerclé et bien qu’il ait préalablement annoncé son arrivée, Abou Iyadh est entré et ressorti de la mosquée comme si de rien n'etait, alors qu’elle était encerclée par la police. Encore une fois nous avons la preuve du laxisme du ministère de l’intérieur et des ordres qui ont été donné pour ne pas touché au chef des djihadistes Abou Lyadh

5 eme echec
En novembre 2012, les policier sur le terrain usent et tire a la chevrotine sur les manifestant dans le centre ville à Siliana. Bilan : des centaines de blessés, même les journalistes ne sont pas epargné et plusieurs citoyens ont perdu un œil. Précision importante, il est strictement interdit d’utiliser ce type d’armes. Au gouvernement, on minimise l’incident. Encore aujourd'hui, aucun responsable au sein du ministère de l’intérieur, aucun policier n'aura de compte a rendre devant la justice. Tuer les citoyens avec des armes a feu est possible en Tunisie. Même le dictateur Ben ali n'aurais jamais fait ça, les singes d'Ennahda a la tête du pays ont donné carte blanche a la police pour réduire au silence une manifestation.

6 eme echec
Fin novembre 2012 à Tataouine, une manifestation soi-disant pacifique des Ligues de protection de la révolution (LPR), tourne au carnage avec l’assassinat de Lotfi Nagdh, coordinateur général du parti Nidaa Tounes dans la région. L'homme sera carrément lynché et tabassé en pleine rue par des sauvages de la LPR. Aucune arrestation, intervention, enquete de la police jusque aujourd'hui.
Réponse immédiate du ministère de l’Intérieur le même jours des faits, avant même que le rapport d’autopsie ne soit publié : crise cardiaque. 
L’activité des LPR n’a jamais été arrêtée malgré la multiplication des manifestations non autorisées et les actes de violence, provocation et de banditisme de c'est membres execute en toute impunité. Tout cela est permis grâce aux connivence qui existe entre le parti Ennahda et le ministère de l'interieur contrôlé par le parti politique. En dépit de l’assassinat de Lotfi Nagdh, les membres des LPR n’ont pas reculé. Le 4 décembre, ils continuent les provocations avec l’attaque du siège de l’UGTT (syndicat ouvrier, à quelques centaines de mètres du ministère de l’Intérieur) avec des dizaines de blessés. Les services du ministère de l’Intérieur ont bien été appelés au secours, mais ils ont mis plusieurs heure a arrivé sur les lieux. Même un livreur de pizza saurait arrivé plus vite que la police sur les lieux des faits.

7 eme echec
L’apogée sera atteinte le 6 février avec l’assassinat par balles d'un homme politique, Chokri Belaïd. Un véritable tremblement de terre a secoué la Tunisie, ce jour-là. Dans le milieu policier, on sait que les premières heures sont déterminantes pour attraper les assassins. Mais voilà, aucun cordon policier n’a été mis en place autour des lieux de l’assassinat, pas ou peu de patrouilles. On ne peut même pas dire que les assassins sont passés entre les mailles du filet, puisqu’il n’y avait pas de filet sur le terrain.
Deux jours plus tard, l’enterrement de feu Belaïd est entaché par une série d’actes de vandalisme commise en bande organisé, visant les voitures des personnes présentes à l’enterrement, filmées en direct par les télés et en l’absence de la police sur le terrain .
Deux semaines plus tard, la statue mémorielle érigée en son honneur devant son domicile est saccagée et détruite. L’endroit se trouve à quelques dizaines de mètres de la préfecture ....

8 eme echec
Les discutions avec les syndicalistes n'ont jamais été franche et sincère durant sont mandat. Entre Ali Laârayedh et ses policié, les relations sont tendues depuis sa nomination. En janvier 2013, différents syndicats de la police ont réclamé sa démission l’accusant de vouloir politiser l’institution policière en mettant des hommes d'Ennahda servant la cause de sont parti plutôt que l’intérêt du pays.
Réponse du ministre : « ils sont motivés par des considérations politiques et des agendas dictés par des parties étrangères. Ils veulent aujourd’hui constituer un Etat à part entière et saboter le travail des forces de l’ordre, à chaque fois que ces dernières font face à un événement sécuritaire important».
Même relation tendue avec les médias : «Une grande partie des médias est très politisée, dit-il, et s’oppose de manière virulente au gouvernement. Ces médias sont manipulés par des parties politisées et œuvrent à ne diffuser au grand public que ce qui est négatif, faisant abstraction des victoires et réalisations louables».

Tel est la verité, notre nouveau premier et mediocre ministre d’Ali Laârayedh est un singe sorti de null je sait ou,  il est difficile de conclure que son bilan est positif et mérite une promotion. Et pourtant, c’est le cas puisque le sort des Tunisiens est désormais décidé par un Choura au sein du parti Ennahda. Après toute c'est épisode désolant, n’espérait pas chère citoyen un pays moderne et ouvert sur le monde, ça sera plutôt l’Afghanistan qui vous attend.

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